"Bonsoir mon cher,
Quel vent t'emmène sur ma belle ville ?
Surement, mon excellent vin de luxe ... je peux comprendre. Ou alors le panoramique sur ma magnificence ... je peux comprendre. Ou bien un raid contre les enyos ... et là, c'est le drame.
Connaître les raisons, les envies et les motivations de ces attentats me ravirais.
Mon emploi du temps est bien garni, mais une petite fête surprise pour les *biiiiiiiip* jours de notre rencontre pourrais se glisser facilement si cela continu. J'en parle de suite à ma jolie secrétaire.
Cordialement, Nanoro"
"Très cher.
Se trouvant que des amis proches à mon coeur passaient par hasard et par mégarde sur mes terres, hélas pauvres et dénuées de ressources propres, et me désolant de ne savoir leur offrir un divertissement de leur goût et seyant à leur grandeur, je leur avait indiqué, par pure courtoisie, et en connaissance de cause, votre adresse, pour trouver chez vous ce qui faisait défault à ma province, comme je l'ai déjà dit, hospitalière, mais rude et rustique.
Aussi, nonobstant le caractère joyeux et gaiement déluré de mes compagnons, j'ose espérer qu'ils vous auront offert dans leur amusement, une soirée égayée et riches en évènements marquants.
Néanmoins, puisque vous le proposez si gentilment, je me joindrais plaisement à vous, en tant qu'hôte de la soirée, à vous, pour déguster de votre fameux vin que l'on m'a compté même en dehors de nos îles.
En retour, il est évident que je n'oublierais pas votre généreuse invitation, et ne manquerais de vous retourner la pareil, si un jour ma pauvre terre donne une merveille digne de votre langue et votre palais.
Volkmar, Prince des Thuriféraires."